Thế giới ăn mừng năm mới 2012

VietsciencesPar Le Nouvel Observateur avec AFP01/01/2012
 

A New York, la star de la pop Lady Gaga a lancé à Times square devant des centaines de milliers de spectateurs la boule de cristal multicolore qui descend le long d'un pylône en 60 secondes aux côtés du maire Michael Bloomberg. Une tradition vieille de plus d'un siècle.

 

Au Brésil en revanche, la pluie a contrarié les célébrations à Rio de Janeiro: le tir du feu d'artifice sur la plage de Copacabana a été perturbé par de fortes précipitations.

Auparavant, Londres avait fêté en beauté l'entrée dans l'année des jeux Olympiques, qu'elle accueille en 2012, avec le traditionnel feu d'artifice sur la Tamise qui suit les douze coups de minuit sonnés par Big Ben.

A Moscou, des dizaines de milliers de personnes ont assisté au feu d'artifice de la place Rouge. A Berlin, ils étaient 400.000 aux abords de la porte de Brandebourg à attendre les douze coups de minuit et fêter la nouvelle année au champagne.

A Amsterdam, deux marionnettes gonflables géantes de 14 mètres, un homme et une femme habillés en costume traditionnel, ont marché l'une vers l'autre pour s'embrasser à minuit pile sous le regard de milliers de badauds.

Au Moyen-Orient, Dubaï a ouvert la nouvelle année par un feu d'artifice grandiose qui a illuminé Burj Dubai, la plus haute tour du monde (828 mètres).

Les îles du Pacifique du Sud et la Nouvelle-Zélande avaient été les premiers pays de la planète à célébrer la nouvelle année...

...suivis de l'Australie avec le feu d'artifice spectaculaire sur la baie de Sydney, devant plus d'un million et demi de spectateurs.



 

 

Feux d'artifices, volonté de changement, voeux électoraux, le monde a fêté son entrée dans la nouvelle année.

 

Les feux d'artifice explosent, tirés depuis Big Ben, à Londres, le 31 décembre 2011. Alastair Grant/AP/SIPA

Les feux d'artifice explosent, tirés depuis Big Ben, à Londres, le 31 décembre 2011. Alastair Grant/AP/SIPA
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Des centaines de milliers de personnes ont célébré 2012 à New York, clôturant les festivités de la nouvelle année après l'Asie, le Moyen-Orient et l'Europe, qui a tenté d'oublier le temps d'une nuit crise de l'euro et récession.

Les traditionnels voeux des chefs d'Etat avaient cette année pour plusieurs d'entre eux des connotations électorales, des élections présidentielles étant prévues en 2012 aux Etats-Unis, en Russie et en France notamment.

Fin d'une annus horribilis en Europe

Ces célébrations ont été l'occasion pour l'Europe de tourner la page d'une "annus horribilis" marquée par la remise en cause de la monnaie unique européenne et la menace d'une récession. Dans leurs traditionnels messages de Nouvel An, les dirigeants européens ont appelé leurs compatriotes à relever le défi de la crise.

Le Premier ministre grec, Lucas Papademos, a appelé à poursuivre "l'effort (...) pour que la crise ne conduise pas à une faillite désordonnée et catastrophique".

Pour le président français Nicolas Sarkozy, "le destin de la France peut basculer" en 2012. La chancelière allemande Angela Merkel a averti que 2012 serait "plus difficile" que l'année qui s'achève.

Le président italien Giorgio Napolitano a, lui, demandé à ses compatriotes d'accepter les sacrifices pour éviter "l'effondrement des finances du pays".

Nous avons mis fin à une guerre et commencé à en achever une autre"

"L'année écoulée a été une période de grands défis et de grands progrès pour notre pays", a quant à lui déclaré le président américain Barack Obama. "Nous avons mis fin à une guerre et commencé à en achever une autre", a-t-il dit, en allusion au départ des soldats américains d'Irak et au conflit afghan.

 

 

Par Le Nouvel Observateur avec AFP
 

 

 

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